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Le conte merveilleux

20 / 06 / 2007 | le GREID Lettres

 

Cette séquence permettra aux élèves de redécouvrir un genre qui leur est familier, qu'ils connaissent depuis leur plus tendre enfance, mais qu'ils aborderont cette fois sous l'angle de l'analyse.
 Cette approche, nouvelle pour les enfants, n'occultera en rien le plaisir, généralement associé au genre : en effet, l'aptitude à démonter les rouages du conte doit leur être présentée comme un pouvoir quelque peu magique, (puisqu'on est dans la thématique), dont ils vont peu à peu être investis, ce qui les comblera de fierté.

 La séquence s'appuie en partie sur l'exposition virtuelle de la Bibliothèque Nationale de France consacrée au conte : http://expositions.bnf.fr/contes/index.htm

 


Par Caroline Fridman, professeur de lettres, collège Le Parc, 93 Aulnay sous Bois

 

 

Objectifs de la séquence

I. Objectifs généraux

 A. Définition d'un horizon d'attente :
Avant toute étude précise, amener les élèves à définir, à partir de leur expérience personnelle, les principaux attributs du genre.

  B. Vérification des hypothèses de départ : Savoir lire et analyser un conte.

  • Repérer des procédés d'écriture récurrents : observer notamment les techniques d'ouverture et de clôture du conte.
  • Savoir reconnaître les grandes caractéristiques du genre : indétermination, portée universelle, personnages stéréotypés...
  • Identifier les éléments traditionnellement constitutifs du merveilleux.
  • Etre capable de délimiter et nommer les différentes étapes du texte narratif. Pouvoir identifier la ou les fonctions dont est investi chaque personnage au cours des étapes auparavant définies.

  C. Exploitation de ces connaissances :

  • Savoir résumer un conte.
  • Savoir inventer et rédiger un conte.

  D. Elargissement : les avatars du conte

  • Percevoir le conte comme un fonds dans lequel chacun puise, aujourd'hui encore. (analyse de diverses adaptations du genre.)
  • Etre capable de puiser à son tour dans ce fonds pour l'exploiter.

II. Objectifs narratologiques

Maîtrise du pôle narratif :

  • Structure du texte narratif. (schéma narratif.)
  • Fonctions des personnages. (schéma actantiel.)
  • Situation d'énonciation : présence/absence du narrateur.

III. Objectifs culturels

  • Se rappeler un fonds traditionnel aussi bien que puiser dans des corpus plus insolites.
  • Découvrir des contes issus d'horizons divers, et avec eux, s'ouvrir à des coutumes, des traditions ou modes de pensée variés.
  • L'objectif sera ici d'éveiller la curiosité des élèves et de susciter en eux le désir de découvrir sans cesse, par voix orale ou écrite, de nouveaux textes.
  • La notion d'intertextualité : voyager dans le temps et l'espace, repérer innovation et retour du même.

IV. Objectifs linguistiques

  • Formation et valeurs des temps du récit.
  • Valeur du présent dans la moralité
  • Le présent de narration -> Rappel : les différentes valeurs du présent.
  • Les mots de reprise.

V. Objectifs méthodologiques

  • Pour la lecture :
    - développer la compréhension des textes abordés et inciter à la lecture cursive, personnelle, encourager à la découverte de nouvelles histoires.
    - développer les compétences requises pour une lecture analytique, considérer le texte comme un tout cohérent, nettement structuré, porteur d'indices qu'il faut s'entraîner à repérer et à interpréter pour mieux saisir la globalité.
  • Pour l' écriture :
    - savoir écrire un texte selon un certain nombre d'exigences précises auxquelles il faut conformer son imagination débridée.
    - Savoir écrire un texte parodique.
    - Savoir synthétiser. (avec l'exercice de résumé).
  • Pour l'oral : s'initier par le fait de conter au difficile exercice de s'exprimer pour un public et de lui communiquer son amour du texte, évaluer diverses formes d'oralité : raconter n'est pas réciter ni jouer par exemple.
  • Pour l'analyse de l'image fixe et mobile : apprentissage des principales notions d'analyse (les différents plans, le champ et le hors-champ, les lignes de force.).

 

Déroulement de la séquence

Première séance : définition d'un horizon d'attente.

En amont, afin de préparer la séance, on demande aux élèves de rechercher à la maison, dans des magazines, une ou plusieurs images qui sont pour eux représentatives de l'univers du conte, traduisent ce que le conte évoque pour eux. (on précisera qu'il est exclu de choisir une image tirée d'un album de contes, car l'illustration doit a priori n'avoir aucun rapport avec le genre en question).

Lors de la séance, chacun vient présenter sa trouvaille devant la classe et expliquer son choix, le justifier. (ex : un bateau, parce que le conte évoque le voyage, l'évasion vers des horizons lointains, une forêt, parce que c'est par excellence le cadre propice aux aventures merveilleuses du conte, un palais, parce que c'est souvent un lieu d'aboutissement des périples, une personne pensive, parce que le conte, c'est la porte ouverte au rêve, à l'imaginaire, à la pensée.).

Les images peuvent alors être regroupées sur un panneau intitulé « Pour moi, le conte, c'est. », chaque élève reportant sous son image un ou plusieurs mots clés ( l'évasion, le rêve, une forêt pleine de surprises.).
Ainsi s'est défini peu à peu un horizon d'attente lié au genre.

 

Deuxième séance. Analyse de l'image fixe : L'Etoffe dont sont faits les rêves, de John Auster Fitzgerald.

(manuel de 6e Programmes 1998 Nathan, A mots ouverts)

Ce tableau synthétise l'ensemble des éléments traditionnellement associés au genre du conte, qui ouvre ici les portes de l'onirisme, et nous entraîne dans un univers merveilleux, peuplé d'êtres nés de l'imaginaire. On observera une sorte de mise en abîme intéressante, puisque la jeune femme dont nous lisons les rêves peut être rapprochée de la Belle aux bois dormant, dont l'histoire s'achève avec le stéréotype du couple heureux, lui-même déjà présent dans les songes de l'endormie.

 

Troisième séance. Vérification des hypothèses de départ, savoir lire et analyser un conte.

La lecture de textes doit maintenant permettre de définir le merveilleux à partir du repérage des éléments qui le constituent invariablement.

  • Lecture et analyse du conte de Pouchkine, Le Petit Poisson d'or : relevé des différentes manifestations du merveilleux (êtres merveilleux, objets magiques, métamorphoses.).
  • Confirmation avec la lecture orale d'un conte égyptien, La Princesse et le château des morts. (Contes populaires inédits de la vallée du Nil, Ed. Maisonneuve et Larose).
  • Etude de la langue : vocabulaire :

Travail sur la polysémie du mot « merveilleux » :
- Exercice : retrouvez à quelle définition, (a, b, ou c), correspond l'emploi du mot « merveilleux » dans chacune des phrases suivantes :
a. remarquable. b. magique. c. très beau.

1. Le coucher du soleil qui se reflète sur la mer crée de merveilleuses harmonies.
2. La chorégraphie des deux patineurs était merveilleuse !
3. Les bottes de sept lieues sont dotées de pouvoirs merveilleux.

Synthèse : définition du mot merveilleux.

- Exercices à faire à la maison :
a. savoir identifier à partir d'un corpus d'extraits, situations initiales et situations finales, être capable de reconnaître parmi les textes proposés, un intrus, un passage qui ne peut être tiré d'un conte (ex. : incipit de Voyage au centre de la terre, de Jules Verne, qui multiplie les indications réalistes de lieux et de temps.)
b. Comprendre la cohérence qui existe entre le surnom d'un personnage et l'histoire qui est la sienne.
c. Savoir repérer des titres possibles de contes, en fonction des indices de merveilleux dont ils sont porteurs.

 

Quatrième séance.

Correction des exercices portant sur le merveilleux.

Ouverture et clôture du conte :
Lecture des situations initiales et finales de deux contes : Le Petit Chaperon rouge, de Charles Perrault, et Jeannot et Margot, de J. et W. Grimm.

- Les formules d'ouverture et de clôture. Demander aux élèves d'imaginer des formulations qui, tout en conservant l'esprit du traditionnel « Il était une fois », seraient un peu plus originales.
Distribution d'une fiche de synthèse comportant plusieurs idées d'entrées et de sorties. (qui sera réexploitée dans les exercices de production des élèves.)
- Etude de la langue : formation et valeurs de l'imparfait.
- A la maison, exercices : conjugaison de l'imparfait.

 

Cinquième séance.

- Correction des exercices sur l'imparfait.
La fonction informative de la situation initiale : les grandes questions auxquelles permet de répondre le début de la narration : qui, quand, où, quoi, pourquoi, comment ?
- Exercice à faire à la maison : savoir identifier, parmi plusieurs, la situation initiale qui s'accorde avec un texte dont est fourni un extrait de péripétie. Reporter dans un tableau synthétique les éléments d'information essentiels fournis par la situation initiale pour la compréhension de l'action à venir.

 

Sixième séance.

- Correction des exercices sur la situation initiale.
Contes et indétermination.

- Observation des indications de lieux, de temps, ainsi que des indices concernant l'identité des personnages.
Bilan : indétermination du conte.

- Réflexion sur les fonctions, les possibles offertes par une telle imprécision.
Bilan : la portée universelle du conte.

 

Septième séance. La moralité.

- La vertu didactique du conte.
- Etude de la langue : valeurs et formation du présent de l'indicatif.

Exercices, à continuer à la maison.

 

Huitième séance.

Etude de la langue : exercices sur la formation et les valeurs du présent et de l'imparfait.

 

Neuvième séance. Etude de la langue.

Contrôle sur la formation et les valeurs du présent et de l'imparfait de l'indicatif.

 

Dixième séance. La structure du conte.

  • Repérage des principales étapes du récit à partir d'un conte, La Princesse au petit pois, qu'il s'agit de remettre dans l'ordre. Identification de la fonction et des caractéristiques inhérentes à chacune des étapes délimitées.
  • Vérification avec le conte de Perrault, Les Fées.
  • Etude de la langue : synonymie et antonymie : pour chacun des mots suivants, figurant dans le conte, indiquez le sens dans lequel il est employé dans le texte en vous aidant d'un dictionnaire, puis donnez un synonyme et un antonyme : « honnête », « folle », « mère ».

 

Onzième séance. Etude de la langue.

Le passé simple : formation et valeurs. (rappel : les valeurs de l'imparfait et la façon dont imparfait et passé simple se relaient dans un récit ).
Exercices. ( à continuer à la maison ).

 

Douzième séance. Etude de la langue.

- Exercices sur le passé simple.

- Etude de l'image fixe :
(Site de la BNF : http://expositions.bnf.fr/contes/pedago/chaperon/illustra.htm)

Parmi une série d'illustrations originales du conte Le Petit Chaperon rouge, choisies parce qu'elles représentent chacune un moment fort de l'action, les élèves devront :

- reconstituer la fiction en replaçant dans l'ordre ces images et en précisant à quelle étape du schéma narratif elles appartiennent.
- en choisir une et écrire, en deux ou trois phrases, le moment de l'intrigue qui est évoqué. On pourra montrer quelques exemples d'albums dans lesquels les images sont ainsi enrichies d'un court extrait tiré du récit qu'elles illustrent. Ce petit travail d'écriture permettra de vérifier l'acquisition des compétences en outils de la langue, notamment avec l'utilisation appropriée des temps du récit.

 

Treizième séance. Etude de la langue.

Contrôle sur les temps du récit : imparfait et passé simple, valeurs et formation.

 

Quatorzième séance. Résumer un conte.

1. Améliorer un résumé bancal et incomplet du conte Cendrillon de Perrault grâce à une relecture attentive du texte premier, dont on identifiera les différentes étapes, en analysant la cohérence qui les relie.

2. Ce travail aboutira à la réécriture par chaque élève de son propre résumé.

 

Quinzième séance. La fonction des personnages.

A partir du conte nigérien Les Deux Sours, de Jean Muzi. (Contes des rives du Niger, Flammarion, Castor Poche, 1986) :
- Analyse des personnages en tant qu'actants à divers moments de la fiction.
La lecture de ce conte permettra également d'introduire la notion d'intertextualité, et d'engager une démarche d'analyse comparative par rapport à la version initiale de Perrault ci- dessus étudiée ( Les Fées).

Vérification : le schéma actantiel dans la situation initiale du Petit Chaperon rouge.

 

Seizième séance. Etude de la langue et écriture.

La désignation des personnages et les mots de reprise.
- Relevé, dans le texte du Petit Chaperon rouge, des noms ou groupes nominaux employés par le narrateur pour désigner le personnage éponyme tout au long du récit, puis analyse des informations apportées par ces désignations sur le personnage.
- Synthèse : les éléments de reprise dans un texte.

Ecriture.
- Sujet : le Petit Chaperon rouge a une sour jumelle dont vous inventerez le nom. Celle-ci est bien moins naïve que la première, et d'autant plus méfiante qu'elle sait exactement ce qui est déjà arrivé à sa jumelle ; aussi est-elle prête à déjouer le piège que lui cherchera sans doute à lui tendre le loup lorsque sa mère la charge de porter à sa grand-mère un petit panier, comme elle l'avait déjà demandé à son autre fille !
Racontez la rencontre de cette petite fille rusée avec le loup, et la façon dont pourrait alors évoluer l'intrigue, en reprenant les mêmes étapes que dans le conte de Perrault. (travail à commencer en classe au brouillon, de façon à pouvoir guider les élèves qui rencontreraient quelques difficultés de mise en route, puis à terminer à la maison).

 

Dix-septième séance. Les avatars du conte.

La parodie textuelle.
(En ligne sur le site de la BNF : http://expositions.bnf.fr/contes/pedago/chaperon/indcorp.htm)

Correction du sujet d'expression écrite et introduction de la notion de parodie, puis lecture de quelques réécritures de contes traditionnels qui ont tous fait l'objet d'analyses au cours de la séquence.
- Le Petit Chaperon vert, ( L'Homme à la tête d'épingle, Cami ).
- Le Petit Chaperon bleu marine, (Contes d'envers, Dumas et Moissard ).
- Le Petit Chaperon rouge, (Tony Ross).
- Le Petit Chaperon rouge, (Christian Poslaniec).

Le principe de cette séance sera celui d'une analyse comparative entre ces textes, sous forme d'un tableau à deux colonnes dans lequel les élèves reporteront les éléments communs d'une part, et les principales différences d'autre part. La connaissance des textes pourra se faire à l'oral, ce qui impliquera concentration et écoute attentive des élèves ; ceux-ci reporteront alors au fur et à mesure les éléments de réponse dans le tableau.

Le premier de ces extraits appartenant au théâtre, le dernier à la poésie, on en profitera pour montrer l'étendue de l'acte parodique à divers genres, dont on appellera la reconnaissance par les élèves à partir de quelques critères simples.
- Le Carrosse inutile (Jean Anouilh, parodie de Cendrillon, Folio n°316).
- La Fée du robinet (Pierre Gripari, parodie des Fées.).

Pour ce dernier texte, on fera de nouveau relever aux élèves ( en travail à la maison) :
1. les ressemblances qui existent entre les personnages de la parodie et les deux sours du conte de Perrault.
2. les ressemblances entre les deux histoires.
3. une expression que P. Gripari a directement empruntée au texte original.
4. les modifications de lieux et d'époques apportées par Gripari.
5. les différences qui affectent le traitement de l'histoire, même si la structure d'ensemble a été conservée.
En synthèse, on montrera que c'est ici la contamination du merveilleux par le prosaïque qui crée l'effet de parodie et produit la tonalité comique du conte.

 

Dix-huitième séance. Edition publicitaire et contes de fées.

L'adaptation du conte en images.
(Site BNF :http://expositions.bnf.fr/contes/arret/variant/indpub.htm)

Analyse de l'image fixe :
- Deux cartes publicitaires représentant le Prince Charmant, éditées pour Le Bon Marché qui les distribuait aux enfants de ses clientes à la fin du 19ème siècle. Réflexion sur la stratégie commerciale ici appliquée : pourquoi ce choix du prince charmant, du décor dans lequel il se trouve intégré ?
- Des affiches publicitaires : le Petit Chaperon rouge pour une marque de fil, ou une maison de chocolat, l'ogre du Petit Poucet avec ses bottes de sept lieues pour une marque de cirage, ou Le Petit Poucet chaussé des mêmes bottes pour une marque de papier à cigarettes, Cendrillon pour un savon intitulé L'Apothéose de Cendrillon.
Réflexion sur la pertinence plus ou moins évidente du choix du conte en fonction du produit à vendre, du public visé.

Travail de production :
Les élèves iront à leur tour puiser dans le fonds traditionnel pour créer des discours publicitaires en sélectionnant un conte comme argument publicitaire. Un élément du conte, ( objet, trait physique ou trait de caractère d'un personnage, élément de l'histoire.devra permettre de justifier un rapprochement évident avec le produit en question !)

Exemples :
- Le Petit Poucet pour un G.S.M. 
- Riquet à la houppe pour une chaîne de coiffeurs.
- Le loup du Petit Poucet qui vient d'avaler la grand-mère pour un médicament contre les ballonnements.
- Peau d'âne pour une ligne de vêtements de cuir.
- Cendrillon dans sa cuisine pour une marque de nettoyant pour les sols. Etc.
On pourra demander aux élèves de dessiner l'affiche chez eux, sans oublier d'y insérer un slogan destiné à faire vendre le produit.

 

Dix-neuvième séance.

Analyse de l'image mobile :

- Le Petit Chaperon rouge, adapté en dessin animé par Tex Avery.
Repérage des différentes étapes de l'histoire, analyse des principaux traits de caractère des deux loups et mise en évidence des oppositions qui les séparent, avant de conclure sur le principal trait qui les rapproche dans le dénouement. Réflexion sur la morale à tirer de ce récit.

- Le Petit Chaperon rouge, adapté par Luc Besson pour Chanel.
(Site BNF : http://expositions.bnf.fr/contes/arret/variant/pub.htm)
Visionnage et analyse des deux versions du spot : 1999 et 2001 ;
Décodage dans le premier de la symbolique : les éléments de décor ( aspect futuriste, impression de richesse, de préciosité .), le personnage du Petit Chaperon rouge ( traits de ressemblance avec l'héroïne de Perrault, différences, lien avec les parodies textuelles étudiées qui mettaient en scène un personnage également rusé et puissant.), le schéma narratif du récit ( de nouveau, ressemblances et différences entre le spot publicitaire et le conte original), enfin, réflexion sur les arguments de vente ainsi déployés, sur leur efficacité.

Analyse du second spot : comparaison des deux versions, réflexion sur ce qui a pu motiver les changements opérés de l'un à l'autre, et de nouveau, sur l'efficacité de ces choix pour louer le produit en question.

 

Vingtième séance. Evaluation sommative.

Le contrôle vérifiera les acquis à l'issue de la séquence, aussi bien en compréhension de texte, qu'en analyse et production écrite.

 

 
Directeur de publication :
A. David
Secrétaire de rédaction :
C. Dunoyer

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