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Voguons vers de nouveaux mondes

25 / 06 / 2012 | le GREID Lettres


Séance n°1 : « Partir en voyage ? Mais pourquoi ? »

Oral/ Lecture – 2 heures consécutives

Activité n°1 : oral

Objectifs :

  • Faire réfléchir les élèves à leur pratique du voyage pour leur faire comprendre qu’elle s’inscrit dans un processus historique et culturel dont il s’agit d’identifier les caractéristiques.

  • S’inscrire dans la thématique du voyage par la représentation qu’ont les élèves du voyage.

Compétences :

  • Participer à un échange verbal (écouter autrui et formuler un propos simple).

  • Rendre compte d’une expérience personnelle.

Modalités pédagogiques :

Les élèves sont placés en « U » face au tableau sur lequel est dessiné un paysage de vacances de carte postale. Aucun matériel n’est sorti. Nous sommes assis comme si nous attendions de partir en voyage, sacs fermés.

Je commence par poser aux élèves une série de questions auxquelles ils répondent chacun leur tour.

Pour chaque réponse, un mot est écrit au tableau par un élève et à chaque question correspond une couleur.

  • Etes-vous déjà parti en voyage ?1
  • Où êtes-vous déjà partis en voyage ? Quel mode de transport utilisez-vous ?
  • Pourquoi avoir choisi cette destination ?
  • Que faîtes-vous lors de votre voyage et de vos vacances ?
  • En quoi votre destination de voyage diffère-t-elle de votre lieu de résidence ?
  • Quelle est la langue parlée dans chacun des pays de votre destination ? Pourriez-vous écrire un mot en exemple au tableau ?

Puis nous faisons de nouveau un tour de table lors duquel chaque élève choisit de prononcer un des mots nouveaux (dialectes et langues) inscrit au tableau, afin de familiariser les élèves à ces termes et ainsi dissiper les gênes de certains à introduire ces langues dans la classe.

Les élèves reproduisent ensuite le paysage de mots dans leur cahier de cours, ravis de se plonger dans ce dernier. L’atmosphère du voyage est créée.

L’appropriation par l’écrit réussie, nous effectuons une synthèse à l’oral pour déterminer les caractéristiques du voyage (but, modalités, fréquence) et comparer les pratiques de chacun. A l’occasion de cette conclusion, je fais prendre conscience aux élèves quelle est la nature des pays de destination. Ceux-ci appartiennent en effet aux anciennes colonies des grands empires européens, lesquelles ont été découvertes par les explorateurs étudiés en histoire. Le travail interdisciplinaire permet aux élèves de faire des liens entre les programmes des différentes disciplines pour en comprendre leur sens. Ainsi ils réinvestissent leurs connaissances et s’approprient avec une plus grande autonomie les textes étudiés. Les auteurs des textes lus ne sont plus de simples noms sans visage mais ils renvoient à des personnages vivants, ancrés historiquement et connus pour leurs faits marquants. Par conséquent, la lecture devient plus concrète et les événements relatés plus familiers, plus facilement imaginés.

Activité n°2 : lecture

Objectifs :

  • L’élève compare la pratique contemporaine du voyage à celle de la Renaissance pour mieux comprendre l’une et l’autre.

  • L’élève découvre le genre du récit de voyage des grands explorateurs et situe la naissance de ce genre dans un contexte historique et culturel.

Compétences :

  • Savoir dégager à l’oral l’essentiel d’un texte lu.

  • Savoir prélever une information explicite dans un texte.

  • Savoir reformuler une information prélevée dans un texte et savoir l’utiliser pour élaborer une réponse écrite.

  • Savoir utiliser ses connaissances lexicales d’une autre discipline pour comprendre un texte.

Modalités pédagogiques :

Je commence le cours par lire à l’oral deux extraits de récits de voyage d’explorateurs rencontrés en histoire au préalable : Marco Polo2 et Jean de Léry3. Ces extraits ont été adaptés pour éviter les passages difficiles du point de vue du lexique et du point de vue de l’objectif pédagogique.

A la suite de cette lecture, les élèves manifestent leur reconnaissance de mots étudiés en histoire (une caravelle, une boussole, l’astrolabe, la colonie, le comptoir, les Conquistadors, les Amérindiens, les Indes). Certains en revanche ne se rappellent plus de leur signification. Donc, nous procédons à une élucidation collective du sens des mots lors de laquelle les élèves qui ont oublié demandent aux autres de les redéfinir à l’oral et pour la classe. Ensuite nous situons ensemble les régions évoquées grâce à une carte de géographie accrochée au tableau. Cette démarche reposant sur les connaissances des élèves en histoire et en géographie constituait une première familiarisation du texte.

Aussi, pour approfondir la compréhension, je leur pose progressivement trois questions qui permettent de comparer la pratique du voyage des explorateurs et la leur. Après chaque nouvel extrait, nous affinons la compréhension en travaillant la formulation et la justification de la réponse. Voici les questions :

  • Comment les explorateurs de la Renaissance voyageaient-ils ? Comment voyage-t-on aujourd’hui ?
  • Pourquoi les explorateurs voyageaient-ils ? Pourquoi voyage-t-on aujourd’hui ?
  • Comment les explorateurs rendaient-ils compte de leur voyage ? Comment rend-on compte de son voyage aujourd’hui ?

Pour que les élèves s’approprient le récit de voyage comme texte, je leur distribue la suite de chaque texte lu qui développe les raisons économiques et politiques du voyage entrepris.

Les élèves lisent individuellement et silencieusement les extraits. Puis ils répondent de manière autonome dans leur cahier à la question suivante : « Quelles raisons les explorateurs mettent-ils en avant pour expliquer leur voyage ?  ». Cette question permet de travailler le repérage d’informations implicites, la rédaction de réponses et ainsi de comprendre les enjeux sous-jacents des voyages des explorateurs. Je leur demande en effet de justifier leur réponse par une citation ou une explication avec leurs propres mots (reformulation de l’information prélevée dans le texte). Nous corrigeons ensuite l’exercice et formulons une synthèse collective des caractéristiques du genre du récit de voyage à l’oral.

Séance n°2 : « Sur les traces de l’île d’un grand voyageur… Robinson Crusoé ! »

Ecriture/ Langue – 2 heures non consécutives

Activité n°1 : écriture

Objectifs :

  • L’élève construit son horizon d’attente en sollicitant ses représentations du cadre de la fiction : l’île déserte.

  • L’élève construit son horizon d’attente afin d’avoir envie de lire.

Compétences :

  • Utiliser ses capacités de raisonnement sur la langue pour lire.

  • Rédiger un texte bref à partir d’une consigne donnée.

  • Exposer et faire valoir son propre point de vue.

Modalités pédagogiques :

Je commence la séance en inscrivant le mot « île » au tableau et je demande aux élèves de réfléchir aux mots qu’ils associent à celui de l’île. Je leur impose un cadre grammatical : deux adjectifs, deux noms communs, un verbe à l’infinitif et un titre d’œuvre littéraire (ou cinématographique).

Cette démarche vise plusieurs objectifs : d’une part, que les élèves apprennent à se référer à leurs propres représentations et à leur imaginaire nourris de littérature ou de culture cinématographique, d’autre part qu’ils s’identifient au personnage de Robinson qu’ils découvriront par la suite. Ce travail permettra de faciliter l’entrée dans la lecture de Vendredi ou la vie sauvage  ; en les faisant réfléchir aux pensées et sentiments du personnage face à l’étranger (lieu et habitants), on leur fait saisir les enjeux du périple du personnage.

Nous mettons en commun et les élèves repèrent par leur observation de la bulle qui se remplit des réponses des camarades que l’image que la classe a de l’île est paradoxale : tantôt séduisante et tantôt dangereuse, tantôt île exotique, tantôt île déserte, île de beauté mais aussi île dangereuse, île imaginaire et île réelle. Ils font d’ailleurs le lien entre ces représentations et l’influence de leur culture littéraire, cinématographique voire publicitaire sur ces dernières.

Je les amène ensuite à réfléchir par écrit à la question suivante en trois phrases complètes dans le but de préparer le processus d’identification au personnage principal de l’œuvre :

« Si lors de votre voyage, votre bateau faisait naufrage…Seul(e) sur une île déserte…que feriez-vous ? Quels sentiments éprouveriez-vous ?  » Ce travail a été amorcé en toute fin d’heure en classe puis a été achevé à la maison.

A l’heure suivante, les élèves lisent leur texte et je note au tableau les éléments en distinguant ceux qui relèvent de la nécessité (la survie de l’homme – la nature), du besoin humain (ce qui distingue l’Homme de l’animal – la culture) et des sentiments humains et ce, sans les nommer. Les élèves sont ensuite amenés à identifier le critère de classement et à réfléchir à ce qui caractérise l’Homme.

Ce travail d’écriture est en effet suivi d’une réflexion (mini « débat-philo ») sur ce qui caractérise l’Homme mais aussi sur ce qui singularise chacun d’entre nous. Puis nous nous demandons si l’Homme est capable de vivre seul (dépourvu de toute autre compagnie), ce travail permet d’introduire la lecture de l’œuvre Robinson. Les élèves se projettent sans le savoir dans l’expérience du personnage de leur lecture, ce qui constituera par la suite un moteur de lecture, puisque ils voudront savoir comment Robinson répondra aux questions soulevées lors du débat et savoir s’il est bien un personnage humain…et jusqu’où.



Activité n°2 : langue

Nous travaillons la structure des phrases employées par les élèves et je mets en évidence l’emploi d’un même mode : le conditionnel présent.

Nous faisons un point langue sur la formation (morphologie), valeurs et emplois du mode conditionnel présent.

A la maison, je demande aux élèves de lire la présentation extraite du manuel du personnage de Robinson du fait réel à nos jours4 en réponse à leur évocation de l’île et en réponse à leur projection de leur propre naufrage sur une île déserte.

Activité n°3 : lecture documentaire

L’objectif pédagogique est ici de percevoir la complexité du personnage de Robinson et de se familiariser avec lui en connaissant les dessous de sa création et en adoptant le point de vue de l’écrivain. A ce moment les élèves ne savent toujours pas que l’on va étudier l’incipit de Robinson Crusoé.

Les élèves lisent silencieusement et individuellement les documents distribués quant à la présentation du mythe du personnage de Robinson. Puis, les élèves lisent à tour de rôle chaque extrait et nous mettons en évidence le déroulement de la création du personnage : de la personne (le voyageur échoué) au mythe littéraire. Nous évoquons ainsi deux principes d’écriture (l’inspiration de l’écrivain par rapport à un fait divers et la réécriture selon les visées qu’adopte l’écrivain). Il aurait été d’ailleurs pertinent de comparer les deux arrivées de Robinson sur l’île, afin de mettre en pratique ce que les élèves ont découvert, mais le temps ne nous l’a pas permis.

Séance n°3 : « Si nous étions une agence de voyage… ? »

Lecture/langue – 2 heures non consécutives

Objectifs :

  • L’élève identifie la représentation idyllique de l’île par les agences de voyage à l’aide des adjectifs mélioratifs.

  • L’élève analyse la visée argumentative des photographies des agences de voyage.

  • L’élève crée un discours publicitaire pour la destination de son choix.

Compétences :

  • Utiliser ses capacités de raisonnement sur la langue pour lire un texte.

  • Rendre compte d’un travail collectif à l’oral et adapter sa prise de parole à la situation de communication.

Modalités pédagogiques :

Les élèves reçoivent leur page de catalogue d’agence de voyage et s’émerveillent de la beauté des images. Ils lisent ensuite le texte individuellement puis relèvent les adjectifs qui caractérisent l’île. Nous mettons en commun les relevés que j’inscris au tableau en distinguant ceux qui font appel aux sens de la vue, de l’ouïe, du toucher, du goût et de l’odorat. Les élèves repèrent cette classification et prennent conscience du rôle des adjectifs qualificatifs dans l’évocation de l’île comme technique argumentative : susciter l’imaginaire du client et idéaliser la destination du voyage pour l’inciter à l’acheter. Les élèves repèrent également l’emploi des superlatifs et comparatifs, ainsi que les figures de style de l’analogie étudiées préalablement (métaphore et comparaison).

Nous faisons ensuite une leçon grammaticale sur les outils de la description méliorative de l’île (adjectifs qualificatifs, superlatifs, figures de style) dont les élèves se serviront pour présenter, à la manière d’une agence de voyage, leur destination de rêve (séance d’oral perlée5 qui permet de réinvestir le travail sur cause/conséquence, le lexique de la description de l’île, l’emploi des adjectifs, superlatifs et figures de style).

Séance n°4 : « Echouons sur l’île de Robinson … »

Lecture/Langue - 3 heures dont 2 heures consécutives

Activité n°1 : lecture analytique

Objectif :

  • L’élève découvre en classe le texte de Vendredi ou la vie sauvage et plus particulièrement la représentation de l’île à travers les yeux de Robinson naufragé.

Compétences :

  • Manifester sa compréhension d’un texte.

  • Utiliser ses connaissances en langue pour comprendre un texte.

  • Travailler en groupe un texte pour en élaborer le sens.

Modalités pédagogiques :

Les élèves sont par groupe de quatre et je leur lis l’incipit de Vendredi ou la vie sauvage. Ceux qui n’ont pas compris certains mots se les font expliquer par d’autres, grâce à la connaissance qu’ils en ont ou grâce à leur recherche dans le dictionnaire qui étaye la signification que le contexte n’a pas permis de construire précisément. Ces mots qui appartiennent au thème du paysage de l’île seront à apprendre et savoir orthographier. Les élèves relisent ensuite en groupe l’incipit de Vendredi et inscrivent ensemble dans le tableau ci-dessous les informations portant sur la représentation de l’île et les émotions du personnage :

Emotions et sentiments de Robinson

Eléments de l’île

Nous mettons en commun les informations prélevées dans le texte et mettons en évidence l’influence de la représentation de l’île par les sentiments et émotions du personnage naufragé. La négation ayant été souvent employée dans le texte, nous faisons une synthèse sur la représentation de cette île déserte à partir d’une révision de l’emploi de la négation « ni…ni »/ « ne…pas »/ « ne…que »

Activité n°2 : lecture analytique / lexique

Objectifs :

  • L’élève travaille la notion de point de vue pour comprendre la représentation de l’autre comme « sauvage » ou « étranger ».

  • L’élève s’identifie au personnage pour l’aider à se représenter la scène.

Compétences :

  • Dégager l’essentiel d’un texte lu.

  • L’élève perçoit la visée argumentative du texte lu.

  • Connaître la polysémie des mots et leurs connotations (cf. séquence n°1) pour lire un texte.

Modalités pédagogiques :

Les élèves avaient réfléchi en fin de séance dernière à ce que signifiait « sauvage », à son usage aujourd’hui et aux choses ou personnes désignées par ce qualificatif. Ce travail avait pour but d’amener la lecture de l’extrait suivant concernant l’observation par Robinson des Indiens et de leurs rites sacrificiels. L’adjectif est en effet utilisé et constitue un des axes de lecture de l’extrait. C’est ici la notion de point de vue qui est en jeu et par conséquent le choix des mots dans la description de cette scène.

En classe, les élèves ont confronté leur définition à celle du dictionnaire afin de comprendre la polysémie du mot ainsi que ses emplois connotés dans les contextes de la colonisation (cf. séance n°1 de cette séquence).

Puis je leur distribue la suite du premier chapitre, pages 50 à 52, et le leur lis. Nous avons d’abord travaillé la compréhension de la scène assez complexe dans sa structure (Qui voit ? Que voit-il ? Que ressent le lecteur ? Que ressent Robinson ?) et je m’appuie sur les réactions des élèves pour les mettre en relation avec celle de Robinson.

Nous terminons cette séance de lecture par une initiation aux pratiques rituelles (pratiques funéraires et religieuses) des Indiens d’Amazonie. On s’aperçoit que notre point de vue sur certaines de nos pratiques comme notre rapport à la mort (enterrement, incinération), notre rapport à l’ennemi lors d’un conflit guerrier et le devenir de son corps mort a changé.

Nous élaborons enfin une synthèse de cette lecture à partir de notre recherche lexicale et des différents points de vue évoqués : Robinson, le lecteur et les Indiens. Nous brossons un portrait rapide de Robinson et tentons de réaliser celui des autres personnages à partir de la polysémie du mot « sauvage » : « Qui est sauvage ? Pour qui ? », ce qui constitue une synthèse que nous mettons en corrélation avec le titre de l’œuvre Vendredi ou la vie sauvage.

Lors de cette activité, nous soulevons – sans la nommer comme telle – la notion d’intersubjectivité en jeu dans l’acte de lecture. Les élèves comprennent qu’ils lisent avec leur propre subjectivité, laquelle entre en relation avec celle d’un personnage, un narrateur et un auteur. Nous parvenons même à l’idée que par la lecture, le lecteur parvient à modifier son point de vue (sur un paysage, une question ou une personne).

L’extrait s’interrompt à la scène de remerciement de l’Indien sauvé par Robinson (Vendredi), baisant les pieds du naufragé, mais le lecteur ignore toujours le nom de ce nouveau personnage.

Notre lecture s’achève sur la perspective de cette rencontre en travaillant l’horizon d’attente. Les élèves finissent par faire le lien avec le titre et de leurs lectures précédentes. Ils mettent ainsi en relation « vendredi » en tant que jour où Robinson vivra dans la forêt, dans la nature avec le nouveau personnage.

Nous concluons cette lecture suivie de l’incipit par la mise en relation de certaines réflexions d’élèves sur l’impossibilité de l’Homme à vivre seul et la nécessité qu’il a de vivre en relation (familiale et amicale) à partir de la scène finale de l’Indien baisant le pied de Robinson.

Séance finale : Représentation finale : la représentation de l’île par les vers

Ecriture/Lecture – 2 heures non consécutives

Objectifs :

  • L’élève travaille l’évocation de l’île en poésie en rapport avec des tableaux fauvistes ou expressionnistes.

  • L’élève écrit un poème lié au voyage (« Recettes du Poète » à partir du vocabulaire travaillé).

Compétences :

  • Etablir des liens entre les œuvres pour mieux les comprendre.

  • Utiliser ses connaissances de la langue pour écrire.

1 Cette question diffère de celle qui serait « Etes-vous déjà parti en vacances ? ». La notion de voyage implique en effet un déplacement de son point de départ vers un point d’arrivée. Peu importe la durée, le moyen, la destination, la cause ou la finalité du voyage. C’est ce qui a permis à chaque élève de se sentir concerné par la question car tous avaient eu l’impression de faire l’expérience d’un voyage, bien que je n’aie préalablement pas défini ce terme.

2 Le Livre des Merveilles, Marco Polo, Classiques Hatier

3 Récits de voyage I – Le Nouveau Monde, Jean de Léry, Extraits, GF Flammarion (lecture de l’incipit- passages choisis)

4 L’œil et la Plume, Edition Belin, Chapitre d’introduction : « Robinson, de Daniel Defoe à Michel Tournier, p 114/115

5 En début ou en fin de chaque cours, un groupe représentant une agence de voyages expose son travail aux autres.

 
Directeur de publication :
A. David
Secrétaire de rédaction :
C. Dunoyer

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