Documents
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Document 1
L’Été grec de J. Lacarrière
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Document 2
« Un conte arabe », anonyme
Première situation d’accueil
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Document 2
« Un conte arabe », anonyme
Deuxième situation d’accueil
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Document 3
« l’Évasion d’une jeune juive vers l’Espagne »
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Qui est accueilli ?
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Par qui ?
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Où ? Quand ?
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Quels sont les rites de salutation(cris ou gestuelle ?)
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Offrande de nourriture, et/ou de boisson ?
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Hébergement ?
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Conversation ultérieure avec l’hôte ?
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Aide éventuelle ?
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Compétences
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Verbal
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A utilisé un registre de langue adapté
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A compris la demande
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A appliqué les consignes
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A valorisé l’interlocuteur
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A questionné l’interlocuteur
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S’est engagé
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A reformulé
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Non verbal
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A souri
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A adopté une tenue professionnelle
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A utilisé un ton ferme mais diplomatique
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A salué, mis à l’aise
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Contenu
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A vérifié l’identité de son interlocuteur et l’objet de sa demande
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A écouté la demande
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A pris les coordonnées
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A demandé de laisser de la documentation
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A pris congé
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Situation de l’extrait
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Incipit
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Explicit
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A quel moment a lieu la scène ?
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Le soir
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Le soir
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Le rôle du narrateur
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Témoin et acteur (focalisation interne)
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Témoin et acteur (focalisation interne)
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La jeune fille, attitude, expression du visage
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« Me regarda, posa la tasse[....].
Ma nièce avait ouvert la porte et restait silencieuse. Elle se tenait elle-même contre le mur, sans rien regarder »= attitude d’évitement, refus du visiteur
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Me fit peine » « pâleur lunaire » « vas d’opaline » « masque tragique grec » « jaillir des perles de sueur » : elle n’est qu’un visage : tout en elle signifie la détresse, la lutte et refus de céder à l’amour
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L’officier allemand, rites de salutation
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À la porte, dit « s’il vous plaît », Sa tête fit un petit salut. Il salua militairement, et se découvrit.
Il me fit face et m’adressa une révérence plus grave. Il dit « je me nomme Werner von Ebrennac », etc. = politesse , respect, humilité, ne se conduit pas en conquérant
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Formule rituelle adressée aux hôtes « Je vous souhaite une bonne nuit » avec une voix « étrangement dénuée d’expression » = cache verbalement son amour, mais se trahit par ce ton
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Signes manifestes de l’hostilité des deux français
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Le silence et l’immobilité
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absents
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Les relations entre la jeune fille et l’officier par le regard ou la parole
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« Ses yeux se posèrent sur ma nièce. Il détourna enfin les yeux »le long regard se détourne = curiosité, estime, coup de foudre ?
Ses paroles s’adressent essentiellement à la nièce « j’éprouve une grande estime pour les personnes qui aiment leur patrie », « je pourrais maintenant monter à ma chambre = la solitude de l’étranger et le besoin d’hébergement
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« Ses pupilles, celles de la jeune fille, amarrées comme, dans le courant, la barque à l’anneau de la rive[...] entre leurs yeux. » etc. L’échange dure = intense émotion amoureuse refoulée, union par le regard
murmurede l’officier allemand : « adieu » (définitif, lié au départ pour le front) = désespoir et espoir d’une réponse ; la nièce tarde à rompre son silence patriotique = première et ultime parole adressée à l’étranger, aveu paradoxal d’amour
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Date | Nom | Sites Web | Message |